La fin du voyage
Il n’y a plus grand chose à faire à part l’oublier.
Trop de contraintes, trop de distances, ce n’est pas envisageable.
Et pourtant, j’y pense encore, trop souvent.
J’aurais voulu me mettre à genoux devant toi, pour te toucher.
J’espère qu’un jour je lirai ce journal et je me demanderai « mais de qui je parlais comme ça déjà ? »